On peut parler d’ironie, voire de blague cosmique. En quittant cette terre irlandaise à la réputation fertile je ne m’attendais pas à retrouver sa version dopée à la testostérone de l’autre côté de l’Atlantique. La saison des pluies dans les Andes, c’est tout sauf un petit crachin que l’on toise. De janvier à mars la menace est permanente, insidieuse. Et ce qui nous est tombé sur le coin de la gueule hier en fin de journée s’apparentait plus à la fin du monde qu’à une innocente averse orageuse.
En moins de 5 minutes les rues se sont transformées en rivières. Le marché central essayait vainement de rester à flot alors que les motos-taxis ressemblaient de plus en plus à des en jet-skis en perdition. Une demi-heure d’un déluge indescriptible avant que le soleil couchant ne parvienne à percer ce double rideau de nuages noir.
Ce jeudi débutent les festivités du carnaval, un déluge d’une tout autre nature en perspective!
Je vous embrasse
Hasta Luego
Nico
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Haaa!! J’adore ces pluies torrentielles tropicales ! 😉
Claire
J’adore la derniere photo!!! La pluie qui se transforme en diamant avec ta camera…
et alors quoi?tu as les cheveux qui frisent?il manquerait plus qu’il se plaigne celui la!t’es pas en sucre qd meme!
ceci dit c’est vrai que tes photos st sympas;)