Presque 2 mois depuis le dernier billet. Les semaines qui filent et une fin d’année qui approche à grands pas de souris. Sournoisement, sans faire de bruit. Une ville que je n’ai que trop rarement dévoilée, des images aléatoires d’une réalité au combien contrastée, qui n’ont que le sens qu’un chacun voudra leur donner. L’absence d’eau, alors que la saison des pluies s’invite une fois de plus avant l’heure. Des couleurs, des saveurs, des ombres sévères et une lune pris au piège. Une place bien dessinée qui laisse place à des pistes empoussiérées. De la rigueur colonialiste au désordre urbain, passent les larmes de joies. Ce vrombissement lancinant d’une routine qui peine à s’installer. Un beau bordel organisé. A sa manière, unique, sans concession.
Belles photos, comme toujours !
Bises
Claire
Belles photos et beau texte Nicolas. Merci pour cette humanité et cette poésie qui font du bien.
Je repense trés souvent au Pérou ces derniers temps..alors l’occasion de t’envoyer un petit bonjour et te souhaiter une bonne continuation dans ton aventure photographique et humaine.
Bises
Ludivine
De beaux clichés bordel! ça fait toujours quelque chose ces images. Donnes de tes nouvelles l’ayacuchanais! besos
Concernant toutes les belles images que tu nous partages sur ton blog, je n’ai qu’une chose à te dire Nicolas :
” La vie à bien plus d’imagination que n’emporte nos rêves … ”
1 bisou