Cafayate la linda

Autant le dire tout de suite j’ai adoré Cafayate, au point d’y rester une semaine alors que je n’avais prévu que d’y passer 2 nuits. Les employés de l’auberge où j’ai atterri y sont sans doute pour quelque chose. Toujours la banane jusqu’aux oreilles, un sens de l’accueil comme on en rencontre rarement même en Argentine, et ce n’est pas peu de le dire. Je me fais peut-être des illusions mais je n’avais vraiment pas la sensation d’être un “client” à force de rencontrer leurs potes, de sortir avec eux dans le bar local et de les écouter conter leurs premières expériences sexuelles dans les moindres détails… Avec quelques gestes mimés en bonus quand mon espagnol me faisait défaut.

Fin de la parenthèse. Une première série réalisée dans le lit d’une rivière aux abords de la ville et une autre de la Quebadra dont j’ai traversé les 50km de routes sinueuses à vélo. Ma condition physique se porte beaucoup mieux depuis, merci pour elle.

J’ai enfin sorti le grand angle (Tokina 12-24) et son filtre polarisant qui jusqu’à présent pesait plus dans mon sac qu’il ne m’était utile. Et comme je préfère largement cette série à la précédente il va sans doute passer un peu plus de temps sur le boîtier!

Hasta Luego!

1 réflexion au sujet de « Cafayate la linda »

  1. Hep!

    T’avais raison… à f4 , c’est un peu mou… Mais a partir de f8, c’est très bon pour le Tokina! (Mais euh par contre, moi ils m’ont pas livré les même paysages avec l’objo! je vais aller me plaindre…)
    Belle série, msieur!
    Encooooore!

    Twane

    Répondre

Laisser un commentaire